Quand l'information devient subtile
Se questionner est essentiel pour comprendre si les réponses reçues en conscience sont pertinentes.

Ouvrir sa conscience et acquérir des connaissances est important pour pouvoir retrouver l’intégrité de son âme et grandir en sagesse. Les voyages de la conscience sont un des moyens d’y parvenir et de recevoir de l’information, pour « voir ».
Vous ne voyez pas ? Vous ne ressentez pas ? Vous avez des doutes ? Oui, cela arrive. Ayez confiance en vous, il est normal de passer par des périodes de doute et d’incompréhension, car tout semble si exubérant que le mental, peu habitué à ces informations, refuse d’accepter que cela puisse être une réalité. Pourtant, l’homme est structurellement bâti pour voyager en conscience. Ceci n’est qu’une question de mental.
Avec de la persévérance, nous parvenons à comprendre la finalité et surtout la vérité et la pertinence des informations reçues. Vous voulez apprendre à faire du vélo ? Eh bien, il faut en faire tous les jours pour prendre le coup de main et obtenir un résultat.
Se questionner est essentiel pour comprendre si les réponses reçues en conscience sont pertinentes. Le ressenti est primordial, car la pertinence est perçue de manière positive dans l’organisme. Si vous vous posez une question et que vous vous dites « Ah oui, c’est ça ! » Alors cela vous procure une immense joie et vous savez que l’information est cohérente. Votre corps valide la réponse positive dans ces cellules.
Le type de question est important dans le processus, mais en fin de compte, il est nécessaire d’accepter votre intuition et de vous dire : « D’accord, c’est ce que je ressens, je vais donner suite à cette information et voir où elle me mène ». Par exemple : « Ai-je le courage de vendre ma maison alors que tout me pousse à le faire, mais que j’ai peur de sortir de ma zone de confort ? Si vous sentez au fond de vous qu’il s’agit de quelque chose de positif, alors oui, vendez votre maison, car quelque chose de plus beau est en train de se produire.
Il s’agit d’accepter de suivre l’information et d’accepter le choix qui en découle. Rassurez-vous et comprenez qu’il n’y a pas de remède miracle pour « voir », mais que tout est en nous. Faites-vous confiance.
Pour vous entraîner à questionner en conscience, commencez par vous connecter à un chêne ou à votre améthyste et voyez ce qui ressort de « l’ entretien ». Voyez la dynamique de ce que vous percevez et ressentez l’information qui vous est transmise. Plus vous travaillez dans ce sens, plus vous ouvrez votre conscience et plus l’information devient pertinente, claire, détaillée et surtout…. Complète. C’est comme comparer un coureur du dimanche à un marathonien : c’est en s’entraînant que l’on atteint un meilleur niveau.
Comme la « vision » est créée sur l’écran holographique du cerveau en fonction du cadre de référence de chaque personne, une personne habituée à ne regarder que des films de science-fiction aura des visions plus axées sur la science-fiction. Le cerveau essaie toujours de visualiser en fonction de ce qu’il connaît, ce qui peut induire en erreur. Pour cette raison, confirmez toujours la vision avec vos sentiments et validez la pertinence de la réponse au plus profond de vos cellules. Si vous entendez « non » à la question, ne forcez pas. Demandez donc à un peuplier s’il est une marguerite et vous comprendrez sa réponse !
En fin de compte, la vérité est unique pour chacun d’entre nous. Nous avons tous nos propres filtres, notre propre référentiel, et notre évolution est personnelle. Le plus important, c’est l’expérimentation, pas la vision. Dites-vous que vous avez ce potentiel en vous et travaillez-y. Expérimentez les reliances, questionnez votre environnement et laissez-vous porter par vos visions et vos ressentis. Prenez conscience que l’être humain a un fort potentiel de sagesse qui ne demande qu’à se manifester à nouveau. Cette connexion se fait avant tout par l’intermédiaire de Gaia et pour y parvenir, nous devons prendre soin de notre planète, comprendre sa réalité multidimensionnelle et comprendre la nôtre.