Lorsque l’âme choisie de s’incarner sur Terre, elle descend dans la matière. Durant son voyage, elle traverse une membrane.
Cette membrane n’en est pas vraiment une, car elle n’est pas matérielle : il s’agit d’une distorsion spatio-temporelle qui entraîne la création de fluctuations entre deux univers et deux temps. C’est une zone qui permet de passer d’un temps accéléré à un temps ralenti et c’est le ralentissement qui fait croire que l’on traverse quelque chose, car l’effet de ralentissement produit est très fort par rapport à la vitesse de l’âme lorsqu’elle descend pour rejoindre la Terre.

Cette zone est rattachée à une dimension particulière qui permet donc de se caler au temps terrestre. Si on ne ralentissait pas, on traverserait la planète sans s’en apercevoir, comme on traverserait un champ de particules sans pouvoir s’arrêter dessus. C’est parce que cette zone ralentit fortement l’âme lors de sa descente, qu’elle peut rentrer dans la matière, s’incarner dans un corps, car plus une information vibre bas et plus elle se matérialise. Par exemple, un caillou vibre très bas et il est très solide, en revanche plus on monte dans le niveau particulaire et plus on devient évanescent.

Cette zone est donc un passage obligé pour s’incarner sur Gaïa dans une dimension plus basse que celle d’où provient l’âme, par contre ce ralentissement est un frein pour aller plus loin lors des voyages de la conscience.